Retrouvez la revue de presse map & match, nous vous avons sélectionné quelques articles sur des sujets qui ont retenu notre attention. Pour cette revue, nous vous proposons des articles de Forbes, Harvard Business Review, HR Brew, Welcome to the jungle, Les Echos Solutions
HR Brew – How the HR department went from compliance police to talent management coaches
As HR teams continue to adapt to, ugh, quiet quitting, quiet firing, bare minimum Mondays, rage applying, and whatever quippy trend is next, the profession has had to rapidly adjust to everything that comes with post-pandemic employees’ changing attitudes toward work.
Understanding the value propositions that human resources offered businesses in the past can help current HR pros understand the ongoing transformation and adapt in a way that’s valuable to the business.
Welcome to the Jungle – Managers : le plus important n’est pas que votre équipe s’entende bien
Dans un contexte organisationnel, la cohésion d’une équipe est la qualité du lien qui unit, qui soude ses participants. Quant à la cohérence, c’est la capacité à bien travailler ensemble : une complémentarité intelligente des compétences individuelles au service de la performance collective.
Une équipe cohérente peut donc difficilement fonctionner à long terme sans cohésion. Et vice versa. Si ces deux notions semblent indissociables en management, pourquoi les opposer ? Un manager est-il forcément tiraillé entre les deux ? N’est-ce pas un écueil à éviter pour, justement, assurer un management fructueux ?
Les Echos Solutions – Total workforce management : pourquoi ce modèle est-il prometteur pour vous ?
Que l’on parle de total workforce management, de gestion des ressources humaines externes ou encore de total talent management (pour « gestion globale des talents »), il s’agit toujours de nommer le caractère de plus en plus composite des collectifs de travail. Concrètement, le total workforce management revient à concevoir l’entreprise comme un écosystème de talents internes et externes, qui collaborent en fonction des projets de l’entreprise. Une évolution alignée avec les aspirations des talents.
D’ici à 2030, le nombre de freelances en France aura en effet crû de 57,7 % par rapport à 2019, d’après une étude réalisée par Data Storm en partenariat avec Freelance.com et Open Talents Lab. Face à ces évolutions, le total workforce management permet d’aller plus loin dans l’intégration des compétences extérieures. Les indépendants, intérimaires et autres prestataires sont donc pris en compte dans une stratégie globale, qui les reconnaît comme parties-prenantes à part entière de la réussite de l’organisation.
Harvard Business Review – 6 questions to Ask Yourself When You’re Frustrated with Your Team
Today’s managers are under a lot of pressure. When it’s a constant strain to get work done, it’s easy to have a short fuse. When expectations aren’t met, the brain short-circuits to judgment and reaction. This is exactly the opposite of what your employees need. In healthy workplace cultures, leaders know how to balance accountability for results with empathy. One way to do this is to aim for reflection instead of reaction. These six questions will help managers revisit their expectations and make sure they’re centering empathy in their attempts to encourage performance.
Forbes – Il est grand temps d’abandonner le terme de softskills
Les soft skills recouvrent l’ensemble des aptitudes et compétences non techniques qui permettent à tout un chacun d’évoluer dans la vie, d’un point de vue personnel ou professionnel. Cependant, ce terme est désormais désuet et devrait être abandonné.
Le secteur du développement du leadership, dont la valeur est aujourd’hui estimée à 67 milliards de dollars et qui devrait atteindre près de 180 milliards de dollars d’ici 2032, doit corriger un problème flagrant, indubitable et de longue date : il n’existe pas de « soft skills ».
Longtemps qualifiées à tort de « soft » (comprenez « douces »), ces compétences sont en réalité le fondement d’un leadership efficace. Il est grand temps d’abandonner ce terme désuet et péjoratif et d’embrasser leur véritable essence : ces softs skills sont en réalité des compétences professionnelles.